Un remarquable éditorial de Monsieur maximum beau bosse dans Philosophie Magazine sur le buzz. On retrouve toujours un peu de condescendance vis à vis de la populace des internautes, reste que c’est très bien vu et remarquablement formulé.
La limaille des internautes, aimantée par la rumeur et le goût de l’insolite, épuise et ronge un spectacle jusqu’à l’os avant de l’oublier pour élire une nouvelle pitance. Le buzz se comporte exactement comme un virus (…) il est le cri de ralliement d’une colonie pavlovienne qui réduit un phénomène à son trognon en le diluant dans l’intérêt transitoire qu’il inspire. Buzz est fils de Zap.
J’aime beaucoup ce point de vue : )
Buzz est le fils de Zap et le cousin éloigné de Has-been !